En Bref
- Le store jour nuit, c’est la maîtrise de la lumière à la minute près, caméléon discret ou grande gueule — ambiance variable, design, entretien presque oublié, et un supplément d’âme posé sur la fenêtre.
- La dimension, ce détail capital qui change tout : largeur du tissu vs. largeur globale, le chiffre qui sépare l’harmonie du cafouillage, l’indispensable marge anti-bourde.
- Le sur-mesure invite à mesurer, adapter, recommencer si besoin : marge de sécurité, choix du tissu, couleurs étonnantes, conseils d’expert… c’est tout un art de la lumière, et parfois, un brin d’improvisation.
Impossible de ne pas s’arrêter sur ce drôle d’ovni qui envahit doucement le paysage déco contemporain. Le store enrouleur jour nuit, ça vous évoque une version 2.0 du classique rideau de grand-mère ? Pas du tout. Ce petit bijou s’invite chez ceux qui ont envie de jongler avec la lumière sans renoncer à la beauté de la matière. L’évidence saute aux yeux, tout de suite : alliance parfaite entre l’envie de design et ce plaisir très simple de voir le soleil filtrer exactement à la bonne intensité… mais sans la migraine du mauvais réglage.
Pour éviter toute erreur et maîtriser parfaitement la dimension store enrouleur jour nuit, rien ne vaut un regard expert : inspirez-vous des créations et conseils visibles sur Architectural design, où précision, esthétique et fonctionnalité s’accordent pour transformer la lumière en véritable élément d’architecture.
Store enrouleur jour nuit : qu’est-ce qui se cache derrière ce nom ?
Le fameux système alterné, ça vous parle ? Les bandes suivent une logique très futée : tantôt transparentes, tantôt opaques, elles se croisent, se séparent, se retrouvent. Et soudain, la lumière devient variable à l’infini.
Alors, pourquoi tout le monde raffole de ce store ? Parce qu’il offre littéralement la télécommande de l’ambiance à celui qui le manipule. Il suffit de jouer avec la chaînette, la manivelle, ou même la petite télécommande sur les modèles connectés, et la pièce se métamorphose. Les enfants s’amusent à faire bouger les rayures – pendant que les adultes cherchent à trouver le juste équilibre entre imitation blackout et rayon rieur de fin de journée.
Au centre de l’affaire, un enrouleur bien caché dans un coffre chic (ou pas, ça dépend de l’option choisie). Il fait office de bodyguard anti-poussière, donne un air résolument urbain à la fenêtre, et puis côté longévité, on est loin du vieux rideau qui se délave et ramasse tout sur son passage. Un geste, voire pas de geste du tout si un moteur s’invite, et la lumière obéit.
Compact, adaptable, il réserve même un argument inattendu : la toile reste propre plus longtemps, c’est toujours ça de moins à passer en corvée.
Sur le ring des matériaux, c’est simple : l’aluminium (l’extrudé, s’il vous plaît) s’impose côté armature : c’est solide, c’est léger, ça résiste à la vie d’aujourd’hui. Le tissu polyester, grand champion des textures tamisantes, décline toutes les nuances entre douceur floutée et ambiance cocon. Certains osent la couleur vitaminée dans la salle de bain, d’autres frôlent l’épure nordique au salon.
L’entretien ? Enfantin, même quand on vit avec un chat déchaîné ou un mini-artiste armé de doigts poisseux.
Ce qui séduit, au fond, c’est le côté caméléon. Look épuré, design, discret ou extravagant, tous les styles finissent par s’y retrouver. On aime ou on n’aime pas, mais une chose est sûre : la fenêtre gagne enfin ce supplément d’âme qui faisait défaut.
Pourquoi laisser un simple vitrage dicter la déco quand un store réglable écrit une toute nouvelle histoire à la pièce ?
Connaissez-vous les avantages (parfois insoupçonnés) des stores jour nuit ?
Ceux qui pensent qu’il s’agit juste de bêtement doser la lumière passent à côté d’un vrai coup de maître. Filtration au gré des envies, contrôle de l’intimité sur-mesure : plus besoin d’hésiter entre se cacher et profiter du soleil. Oui, il y a ce petit plaisir de créer une bulle lumineuse tout en restant caché du voisin curieux… c’est un peu la magie d’un cocon urbain, non ?
Les fans du “zéro perçage” se reconnaîtront : qui n’a jamais affronté un mur récalcitrant ? Les options Easyfix, c’est la revanche des locataires et des étudiants du “prêt à poser” qui veulent du fonctionnel, propre, sans détruire la caution. Le support, c’est vous qui décidez : mur, plafond, encadrement, c’est le festival du choix.
Du blanc intemporel au bleu canard carrément mode, on se lâche : le nuancier ne laisse personne sur le banc de touche. Accord parfait ou contraste affirmé, qui aurait pu prévoir qu’un détail textile interviendrait à ce point dans l’harmonie d’une pièce ?
Cette question du tissu, encore ! Filtrant, tamisant, occultant : qui n’a pas changé d’avis après avoir testé une chambre transformée en grotte (parfait pour les grasses mat) ou un séjour inondé de lumière tamisée façon hygge ?
L’impact sur le rendu, l’ambiance, l’investissement aussi… une vraie question de philosophie domestique.
Quelles dimensions viser : standard ou sur-mesure ? Cauchemar ou solution géniale ?
Sur ce terrain, attention terrain miné. Les largeurs s’étendent de 30 à 280 cm (oui, certains voient grand, très grand), jusqu’à 350 cm de hauteur. Les baies vitrées applaudissent. Mais quelle histoire : tissu ou mécanisme, la largeur ne raconte pas toujours la même histoire.
Méfiez-vous des oublis : le tissu fait systématiquement 3 à 4 cm de moins que la largeur annoncée. Il y a des sourires déçus quand on découvre la petite bande de lumière pile à l’endroit que l’on voulait masquer.
Le sur-mesure, c’est la solution pour cet encadrement infernal aux dimensions exotiques. Le calcul au centimètre près, vous imaginez le soulagement ? Chacun trouve enfin une fenêtre à sa mesure (littéralement). Les ateliers tricolores ou européens rivalisent désormais : qualité, fabrication express, accompagnement de pro, ils dégainent la notice PDF ultra détaillée… l’air de rien, ça rassure.

La qualité et le délai de livraison rassurent ceux qui n’ont pas envie de patienter deux mois. Un mode d’emploi illustré, quelques conseils, et une hotline vraiment efficace : voilà la recette pour dormir tranquille avant l’arrivée du colis.
Position du store jour nuit en 2025 : mode, marché… qui a gagné ?
Le spectacle se déroule désormais sur tous les fronts : les spécialistes déco, les grandes surfaces de bricolage, et même ce digital foisonnant. Chacun y va de sa gamme, entre l’entrée de gamme ultra basique et le haut de gamme grand confort. Les collections Vénus, LUX, Must ou Soft affichent leur tempérament. Chacun y trouvera son alter ego d’ambiance.
L’engouement pour la domotique : qui aurait pu prévoir le boom des stores connectés ? Le contrôle du bout des doigts ou à distance, la montée, la descente, la programmation automatique… tout devient jeu d’enfant et le confort prend un vrai visage ludique. Les délais pour transformer une envie en store posé ? Entre 5 et 15 jours ouvrés. Chacun se cale selon son envie du moment… ou la couleur du salon tout juste repeint.
Un panorama rapide : les stores standards s’expédient à la vitesse TGV (quarante-huit heures !), mais pour du vrai sur-mesure, il faudra accepter une certaine attente zen. Le prix navigue selon la dimension et le raffinement… l’unique constante : la dimension juste sublime le rendu et garantit une efficacité totale. Se rater sur ce point, c’est saboter tout le projet.
La pose, ce n’est pas toujours l’aventure redoutée : une notice claire, une ou deux fiches techniques et une hotline qui répond vraiment… tout le monde finit par s’en sortir, même ceux qui, d’habitude, n’approchent pas une perceuse.
Par où commencer pour prendre des mesures… sans craquer ?
Un projet store jour nuit implique, soyons francs, un petit cérémonial : quelques outils à la main, une pièce à bien observer… et une sacrée envie de ne pas réitérer l’épisode du rideau version “trop court, trop long, trop large”.
La préparation : réussir la prise de mesure du premier coup ?
Ça commence tout bêtement par sortir le mètre ruban, un crayon (graphite si possible), et un vieux carnet – le digital, c’est bien, mais rien ne remplace le papier pour les bricoleurs stressés. Ensuite, filez inspecter la zone à habiller : poignée envahissante, radiateur espiègle, coffrage bizarre… tous ces copains risquent de perturber le projet. Façade, sous linteau, sans perçage, chacun son camp : ce choix conditionne la façon de mesurer, alors mieux vaut ne pas se précipiter.
Répétez cette règle simple : la largeur à couvrir commence quelque part, finit… ailleurs, souvent. Une marge de sécurité, c’est le secret pour une pose qui recouvre vraiment la vitre. Cette étape fait office de filet anti-erreur et vous éloigne de l’achat regretté.
À chaque mesure, le geste ralentit, l’attention grimpe, le projet prend forme. Osez adapter le modèle choisi à vos supports et vos habitudes, la réussite se joue aussi là.
À quoi penser lors de la pose dans l’encadrement ?
Sous linteau ? La règle d’or, c’est de mesurer la largeur en haut, au centre, en bas. Prendre la plus petite valeur, c’est frustrant mais salvateur. Quant à la hauteur, elle commence là-haut (oui, jusqu’au rebord inférieur) : on n’oublie pas la place du coffre, sous peine de déconvenue. Si une poignée gêne l’ouverture, ou un radiateur traîne dans la zone, anticipez la parade. Vraiment utile pour ceux qui ont déjà expérimenté le rideau coincé — on ne vise pas la catastrophe, pas cette fois.
Ne négligez pas la proximité d’un compariot store vénitien, ni d’un double vitrage proéminent. Un simple blocage et tout l’édifice s’effondre. Être vigilant, c’est survivre à l’installation, et ça garantit un résultat impeccable. Qui veut s’acharner à régler un frottement sans fin alors qu’un petit centimètre oublié fait toute la différence ?
Les pièges à éviter : quelles “bourdes” et comment y remédier ?

Premier réflexe : oublier la subtilité entre largeur du tissu et largeur globale du mécanisme, ce n’est jamais anodin. Les fameux 4 cm d’écart, certains ont déjà pleuré dessus… Lorsqu’il faut occulter toute la vitre : pensez à élargir la zone, sinon gare à la bande de lumière intempestive qui vient saboter la pénombre recherchée. Les boutiques spécialisées rivalisent de schémas et photos pour vous éviter l’arrachage de cheveux final.
Certaines fenêtres jouent les originales : portes-fenêtres, oscillo-battants, rien n’arrête l’innovation ni la créativité des fabricants. Pensez à choisir une chaînette qui ne s’enchevêtre pas, une barre de lestage costaud, le confort de vie s’invite dans ces détails-là. Et, point d’orgue : un entretien réalisé correctement vaut parfois bien plus que n’importe quelle option premium, surtout avec les tissus qui restent faciles à nettoyer, qu’ils sortent tout droit de l’emballage ou qu’ils aient déjà survécu à plusieurs saisons de cambouis et chocolat chaud.

Se lancer dans l’achat d’un store enrouleur jour nuit sur mesure, ça se prépare comment ?
La théorie c’est bien, la pratique, c’est la vraie vie. Demandez-vous toujours : qui a déjà tenté, qui a regretté, qui a débordé du cadre prévu ? Les avis clients, c’est la lecture de chevet du bricoleur sur-mesure. Une question ? Un chat, un téléphone, il y a toujours un expert qui a croisé le même dilemme. Anticipez les délais, ménagez-vous une marge de sécurité. Un chantier qui s’enchaîne, des artisans qui débarquent en avance… cela arrive plus souvent qu’on ne pense.
Les mesures, on les relit : systématiquement. La cohérence, un œil neuf la repère mieux. Accordez un temps d’arrêt sur le coloris : saviez-vous qu’une teinte peut transformer la perception d’espace et la luminosité à elle seule ? Les simulateurs en ligne, ce n’est pas qu’un gadget, c’est de la science domestique. Pourquoi ne pas oser, tenter, imaginer, mais aussi rester à l’écoute des conseils du fabricant ?
L’air du temps favorise le sur-mesure : beauté, praticité, modularité sans compromis. Mesurer, comparer, bricoler, ajuster : cela peut paraître laborieux, mais c’est finalement là que réside le plaisir. La lumière se façonne, pièce par pièce, habitude après habitude. Qui aurait cru qu’un store enrouleur pouvait changer autant la façon d’habiter… alors, tenté par la révolution store jour nuit, ou déjà accro à la magie des bandes qui dansent avec le soleil ?
Foire aux questions pour tout savoir sur le store enrouleur jour nuit
Quelles sont les dimensions d’un store jour-nuit ?
Un store jour nuit, c’est un peu du caméléon de la déco. Les dimensions ? De la mini à la maxi, sans exagérer. Imaginez : une largeur qui joue entre 30 et 240 centimètres, une hauteur de 40 à 260 centimètres. Oui, ça veut dire qu’un store jour nuit en polyester peut presque se décliner pour une petite lucarne ou un immense mur vitré. On parle de largeur, mais ce n’est pas juste une question de chiffres. Derrière ces dimensions se cachent l’envie de dompter la lumière, de jouer avec les ambiances. Et franchement, qui n’a jamais rêvé d’un store XXL, noir mat, qui change la pièce ?
Quelle est la taille d’un store enrouleur ?
Ah, la taille du store enrouleur, ce détail qui n’en est pas un. Le secret ? La largeur du store enrouleur devrait être environ 7 centimètres de plus que celle de la vitre. La raison : la toile, ce n’est pas toute la largeur de l’armature – non, elle est plus fine, de 4 centimètres environ. Donc, on anticipe, on élargit, on vise le recouvrement parfait. On ne veut pas d’un rayon de soleil qui s’incruste en douce… Un store enrouleur bien choisi ne laisse pas de place à l’approximation. C’est simple : on mesure, on ajoute et tout à coup, c’est le confort absolu.
Comment calculer la taille d’un store enrouleur ?
Calculer la taille du store enrouleur, c’est un peu comme préparer une tarte aux pommes : on ne veut rien oublier. Si la fenêtre ne porte pas de coffre, on prend la largeur de la fenêtre et hop, on ajoute dix à quinze centimètres de chaque côté. Pourquoi ? Pour englober, pour couvrir, pour que la structure du store enrouleur épouse la fenêtre en toute élégance. Cette addition : ce n’est pas juste pour les calculs, c’est pour l’atmosphère, la sensation d’une pièce parfaitement tamisée. Le store enrouleur, quand il tombe juste, c’est plus qu’un simple accessoire. C’est la pièce qui finit le puzzle.
Quelle est la taille standard des stores ?
Standard, vraiment ? Oui, mais avec nuances : les dimensions des stores s’adaptent à la majorité des fenêtres. Généralement entre 60 et 152 centimètres de large, 91 à 183 centimètres de long. On pourrait croire que toutes les fenêtres se ressemblent… ce n’est pas tout à fait vrai, mais les tailles standard des stores couvrent l’essentiel, histoire de simplifier la vie. On veut de la souplesse, de la modularité : un store, un rideau, un voilage – il y a toujours une dimension prête à l’emploi. Mais le sur-mesure, évidemment, viendra titiller ceux qui aiment sortir du rang, expérimenter, ajuster sans compter.